mardi 22 décembre 2020

Les albums qui ont eu un gros impact sur moi, à tout âge #16

Ceux qui me connaissent bien savent que le rock progressif est mon genre musical préféré, et doivent commencer à se demander quand je vais enfin présenter un album du genre après 15 sélections hard ou grunge ! Ma découverte du prog, ou plutôt du métal progressif qui avait bien renouvelé le genre à cette période, je la dois à mon copain d’internat Maxime Leotot. Il était fan de Dream Theater, et m’a prêté l’intégrale de leur discographie (dont la dernière sortie à l’époque était “Once in a live time”). Bien qu’ayant été assez impressionné par certaines de leurs chansons je n’ai jamais réussi à totalement accrocher à ce groupe. Mais j’étais malgré tout séduit par ce croisement musical, mélange de métal dont je commençais à être friand et de l’univers aventureux, imprévisible et complexe du prog, genre que je ne connaissais pas encore mais qui allait s’avérer être la définition même de ce que j’aime écouter en musique. Qu’à cela ne tienne, il avait d’autres pépites en catalogue à me faire découvrir. Notamment “Dead Winter Dead” et “The Wake of Magellan”, deux concept albums de Savatage, un groupe de métal qui a évolué avec les années vers le métal prog. Ces américains se sont spécialisés dans les “opéras rock” à partir de leur album “Streets” en 1991, et réussissaient à chaque fois à trouver de histoires passionnantes à mettre en musique jusqu’à leur chant du cygne “Poets and madmen” en 2001. De nombreux albums de ce groupe m’ont marqué mais puisqu’il ne faut en citer qu’un, je choisis “The Wake of Magellan”, à mon sens le plus réussi des deux que m’avait fait découvrir Maxime à l’internat en 1998.


 

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